Imaginez devoir défendre une piscine contre un squatteur qui se blesse et vous attaque en justice pour négligence ! Vous pensez que c’est un scénario farfelu ? Détrompez-vous. Découvrez cette situation hallucinante où les propriétaires doivent prouver qu’ils n’ont pas encouragé les baignades illégales. Madame-raleuse.com vous plonge dans cette absurdité juridique qui défie la logique ! (source : Le Figaro)
Les absurdités de la justice moderne
Ah, les joies du monde moderne ! Qui aurait cru qu’un jour on vivrait dans une réalité où, après avoir bravé les lois de la gravité et de la logique en squattant une piscine qui ne vous appartient pas, vous pourriez non seulement vous blesser mais aussi attaquer le propriétaire en justice pour… négligence ? Oui, vous avez bien entendu. Un vrai chef-d’œuvre de l’absurde !
Imaginez la scène : vous décidez de vous improviser dauphin et de plonger dans la piscine d’une copropriété. Et, par un incroyable concours de circonstances, vous vous blessez gravement. Dans un monde où le bon sens est une relique du passé, il semble que le bon vieux principe de responsabilité personnelle soit devenu aussi obsolète qu’un téléphone à cadran. Non seulement le squatteur se retrouve tétraplégique, mais il porte plainte contre la copropriété. Pourquoi ? Parce que, visiblement, la piscine n’était pas suffisamment bien entretenue pour un usage illégal.
Le raisonnement est fascinant : vous occupez un bien de manière illicite, vous vous blessez et, dans un coup de maître juridique, vous réclamez des dommages et intérêts à ceux qui ont le malheur de posséder ce bien. Ah, la beauté de la justice moderne ! En effet, la copropriété aurait dû prévoir les risques que présente un squatteur acrobate. Évidemment, la piscine doit être maintenue en parfait état même si elle est utilisée par des individus n’ayant pas l’ombre d’une autorisation légale pour y mettre les pieds.
Les défis de la preuve et les épreuves des propriétaires
Et le plus délicieux dans tout ça ? C’est le défi pour les propriétaires de prouver que leur piscine était impeccable avant l’incursion non invitée du nageur clandestin. « Nous avons des photos de la piscine avant le squat », diront-ils, « et la facture pour l’entretien des échelles et des plongeoirs ». Oui, parce qu’évidemment, chaque copropriétaire doit maintenant ajouter à sa liste de choses à faire : vérifier régulièrement ses propriétés pour s’assurer qu’aucun acrobate du dimanche ne s’y introduise. En cas de litige, la partie adverse pourrait toujours contester la qualité de ces preuves et prétendre que la piscine était un véritable champ de mines aquatiques.
Finalement, si jamais vous pensiez que votre été serait tranquille, détrompez-vous. Dans un monde où les squatteurs sont les nouveaux héros de la justice, vos journées ensoleillées sont peut-être sur le point de se transformer en une bataille judiciaire pour éviter de payer des réparations à quelqu’un qui a décidé de se faire une baignade illégale. La piscine, un véritable nid à problèmes. Qui aurait cru que le vrai danger de l’été ne réside pas dans les coups de soleil, mais dans les plongeons illégaux ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Blessez-vous en squattant une piscine ? Demandez des réparations à ceux qui n’ont pas voulu de vous !
Exprimez-vous !
Pensez-vous que les propriétaires devraient vraiment être tenus responsables des blessures des squatteurs ? Partagez votre avis dans les commentaires !
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