Règles de conformité du Digital Services Act de l’UE : Impacts sur les Géants d’Internet, Elon Musk se plie en 4

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Ah, quel moment excitant pour Madame-Raleuse.com et les géants d’internet ! L’Union européenne a enfin décidé de mettre de l’ordre dans le joyeux chaos en ligne avec son tout nouveau jouet. Comme si les géants du web n’avaient rien d’autre à faire que de jouer au jeu du chat et de la souris avec les règles de l’UE ! Son nom est « Digital Services Act » (DSA) de l’UE. (source: RFi)

L’Union européenne en mode shérif du numérique

La Commission européenne a décidé de jouer les shérifs du numérique, et franchement, on ne peut qu’applaudir leur sens du timing. « Il y a un nouveau shérif en ville, et il s’appelle DSA », a déclaré en janvier 2022 Thierry Breton, le commissaire européen à l’industrie et au numérique, probablement vêtu d’un chapeau de cowboy. Parce que rien ne dit « règlementation numérique sérieuse » comme une musique de western en arrière-plan.

Désormais, toutes les grandes plateformes avec plus de 45 millions d’utilisateurs – un petit groupe de potes, quoi – doivent se soumettre au DSA. Google, Facebook, Youtube et leurs copains doivent faire face à des règles inédites qui leur rappellent que ce qui est illégal dans la vraie vie l’est aussi en ligne. Oui, même si ça implique de vérifier chaque chaton mignon pour s’assurer qu’il ne contient pas de contenu haineux.

Les méchants contenus haineux, pédopornographiques, terroristes, les arnaques en ligne et même les ventes de produits interdits ou contrefaits sont dans le viseur. Les plateformes doivent maintenant jouer aux justiciers et éliminer ces méfaits en un claquement de doigts. Et pour pimenter les choses, elles ne peuvent plus cibler les mineurs avec des publicités. Quoi de plus amusant que de priver les enfants de publicités ultra ciblées ?

Jonglerie juridique et équilibre entre libertés et abus

Mais ce n’est pas tout ! Les plateformes doivent également être transparentes sur leurs algorithmes. Parce que tout le monde aime un bon algorithme mystère. Et attention, si elles traînent les pieds, elles risquent une amende pouvant atteindre 6% de leur chiffre d’affaires mondial. Autant dire qu’elles tremblent déjà dans leurs salles de réunion high-tech.

Le défi maintenant, c’est la mise en œuvre. Les Gafam (Google, Amazon, Facebook, Apple et Meta, anciennement Facebook – oui, ils ont changé de nom, parce que pourquoi pas ?) vont devoir faire preuve de créativité pour jongler avec les avocats et les algorithmes. Mais ne vous inquiétez pas, ils sont déjà en train de travailler sur des « mesures » pour être à la hauteur de ces nouvelles réglementations. (on s’en est bien aperçu ces dernières semaines ! ). Tout cela pour maintenir l’équilibre entre les libertés fondamentales et la lutte contre les abus en ligne. Ça promet des réunions passionnantes et des mises à jour de termes et conditions à rallonge.

Exprimez-vous !

Eh bien, chers lecteurs, comment appréhendez-vous cette nouvelle ère de régulation numérique dans l’Union européenne ? Pensez-vous que les géants d’internet vont se plier docilement aux règles du Digital Services Act ou préparent-ils déjà leur parade juridique et algorithmique ? Et comment voyez-vous l’équilibre entre la protection des libertés individuelles et la lutte contre les abus en ligne ? Faites-moi part de vos réflexions et prédictions sur cette grande scène de spectacle numérique !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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