macron code électoral

Entrez dans les coulisses d’une démocratie en crise avec Madame-Raleuse.com ! Macron défie-t-il la loi électorale pour ses propres intérêts ? Prêt à plonger dans un récit où politique et légalité se livrent un combat sans merci lors des élections législatives ? Accrochez-vous, ça va secouer !

Macron et les législatives : Un petit écart avec la loi ?

Ah, quelle surprise ! Macron, ce maestro de la légalité, décide soudainement de jouer au petit rebelle en fixant des dates pour les législatives qui semblent ne pas vraiment coller avec la loi. Jean-Jacques Urvoas, notre cher gardien du temple juridique, a bien sûr bondi de sa chaise, armé de son savoir encyclopédique sur le Code électoral. Ah, cet article L157, si ferme, si intransigeant sur le dépôt des candidatures : au plus tard 21 jours avant le scrutin ! Mais bon, qui a besoin de respecter les lois quand on peut avoir des élections à sa manière, n’est-ce pas ?

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Urvoas se délecte de cette ironie croustillante : « Ah, le dépôt des candidatures aurait dû être fait vendredi dernier ! Quelle farce ! » Il prédit même des embrouilles en perspective, avec un petit sourire en coin. Et bien sûr, il ne manque pas de souligner la précipitation de Macron, pressé comme un citron, mais pas par un souci démocratique, non, juste pour éviter que les élections ne gâchent le spectacle des Jeux olympiques. Priorités, mes amis, priorités !

La « rébellion » de Macron : Un coup de force ou une simple faille ?

Mais attendez, ça ne s’arrête pas là ! Macron, ce rebelle incompris, veut passer en force, vous dis-je ! Il s’assoit sur le droit comme on s’assoit sur une chaise, avec une nonchalance exaspérante. Car voyez-vous, pour lui, le droit, c’est juste une sorte de suggestion, une lumière faiblarde dans un monde où il fait sa propre loi. Et après tout, pourquoi s’embêter avec ces détails légaux quand on peut simplement plier le droit à sa volonté ? Bravo, Macron, pour cette leçon d’exemplarité ! Qui a dit que la démocratie devait être ennuyeuse et réglementée, hein ?

Mais, attendez, une surprise ! Voilà que surgit l’article 12 de la Constitution, tel un chevalier en armure légale ! Il exige que les élections législatives anticipées se tiennent « vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution ». Eh bien, Macron a trouvé la faille ! Avec son premier tour prévu le 30 juin, soit vingt-et-un jours après l’annonce, tout est parfaitement en règle. Ah, bravo à Macron pour ce timing parfait ! On comprend dès lors qu’il avait certainement tout organisé. Peut-être que l’idée lui est venue lorsque Marine Le Pen l’avait mis au défi ! C’est bien connu, rien ne stimule la créativité comme un bon défi lancé par un adversaire politique !

Capture écran sur LEGIFRANCE Constitution du 4 octobre 1958 article 12

Citation de Madame-Raleuse.com

Macron, maître ès démocratie : quand la loi devient une simple formalité pour servir ses desseins politiques.

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One Comment

  1. En France il n’y a pas le pouvoir mais l’abus de pouvoir et donc la faiblesse des contre-pouvoirs citoyens.
    La France est le pays qui a proclamé les droits de l’Homme, mais pas celui qui les applique !
    On peut facilement éliminer ou d’identifier une vraie dictature, mais il est très difficile d’éliminer une fausse démocratie.=  » La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » Aldous Huxley (1864-1963), écrivain britannique, auteur du livre « Le Meilleur des Mondes »

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