Quand on nous vend des « bugs » sur X… mais que c’est juste l’UE qui joue au stagiaire censeur

Madame-Raleuse pensait comme tout le monde que X était en panne. Mais surprise : en passant par un VPN australien, tout fonctionnait parfaitement. Et si les “bugs” étaient en fait des bâillons numériques ?

C’est une histoire qui sent bon le foutage de gueule algorithmique.

Depuis plusieurs semaines, Madame-Raleuse s’arrache les cheveux (et ce n’est pas peu dire) à vouloir intégrer des posts X (ex-Twitter) dans ses articles. Résultat : écran noir, erreur de chargement, message flou digne de la CAF, et une petite voix dans sa tête qui disait :

“C’est pas grave, c’est juste un bug. Ils l’ont dit sur BFM.”

Et comme une bonne citoyenne crédule, Madame-Raleuse a avalé l’histoire du bug mondial sur X. Trop de posts, trop de Elon Musk, trop de liberté… ça plante. Voilà ce qu’on nous vendait.

Mais dimanche, en Suisse, l’illumination

Ce dimanche, Madame-Raleuse travaillait tranquillement depuis la Suisse (pays neutre, chocolat, montagnes, démocratie directe, et… accès à X ?). En plein article sur les scènes de chaos post-PSG que les medias mainstreang , impossible d’intégrer le moindre tweet.

Mais là, une idée lumineuse. Une étincelle. Un soupçon de génie numérique :

“Et si c’était pas un bug… mais une censure géolocalisée ?”

Hop, elle lance son VPN (pour les novices : un VPN, c’est un outil magique qui fait croire à Internet que vous êtes ailleurs – genre à Sydney en peignoir ou à Tokyo en train de manger des sushis). Direction l’Australie.

Et là… MIRACLE.

Tous les posts X s’affichent comme par magie.
Plus aucun bug. Plus aucune erreur.
Seulement une évidence : ce n’est pas X qui bugue, c’est la liberté qui agonise en Europe.

Nota bene : De retour en France, Madame-Raleuse a retesté l’intégration des mêmes tweets. Même bug. Même bâillon numérique. La Suisse, pourtant hors de l’UERSS, n’est visiblement plus aussi neutre qu’elle le prétend. Elle a peut-être évité Bruxelles, mais pas la soumission algorithmique.

L’illusion du bug, la réalité de la censure

Ce qu’on vous vend comme un “problème technique” est en fait une manipulation géopolitique de vos droits numériques. Une guerre froide du clic, menée par une UERSS qui, sous prétexte de lutter contre la “désinformation”, filtre l’information gênante.

Et que fait X dans tout ça ? Il obéit. Pour ne pas perdre son marché. Pour ne pas se faire bloquer. Pour ne pas subir une amende stratosphérique par les techno-bureaucrates de Bruxelles.

Bienvenue dans l’Internet européen… version 1984

  • Tu veux publier une vidéo de chaos en France ? Censure.
  • Tu veux montrer un tweet qui expose une vérité qui dérange ? Erreur technique.
  • Tu veux informer tes lecteurs ? “Désolé, ce contenu n’est pas disponible dans votre région.”

Mais si tu te caches derrière un VPN, alors soudain, la vérité redevient accessible.

Le bug, c’est vous qu’on prend pour un bug

Chers lecteurs, ne vous laissez pas avoir.
Ce que vous prenez pour un bug est en fait un filtre.
Un filtre idéologique.
Un contrôle silencieux.
Et le plus beau ? On vous laisse croire que c’est pour votre bien.

Mais Madame-Raleuse, elle, ne clique pas sur “Accepter les cookies” sans lire.
Elle contourne, elle fouille, elle râle. Et surtout, elle vous alerte.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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