Plongez dans les coulisses tumultueuses des régulations numériques européennes avec une enquête incisive de Madame-Raleuse.com. Entre accusations d’un accord secret et défense des coches bleues sur Twitter, découvrez pourquoi Elon Musk voit rouge et comment l’Europe riposte. Prêt à démêler le vrai du faux dans cette bataille médiatique ? (source : numérama)
La conspiration européenne selon Musk
Accord secret illégal pour éviter une amende : vraiment, l’Europe n’a rien de mieux à faire que de comploter contre notre cher Elon ? Selon le génie de Tesla et des tweets, l’Union Européenne aurait offert à X un accord secret tellement illégal que même Batman ne l’aurait pas imaginé. Apparemment, si X acceptait de se taire sur la censure, les amendes disparaissaient comme par magie. Bien sûr, toutes les autres plateformes ont sauté sur l’occasion, mais pas notre héros !
Musk, défenseur de la transparence (en dehors des détails de ses jets privés, bien sûr), dénonce vigoureusement cette conspiration de l’ombre. Et comme tout bon milliardaire incompris, il n’oublie pas de jeter un coup d’œil complice aux complotistes en parlant d’accords secrets et de complaisance des autres plateformes.
Le DSA expliqué par Thierry Breton
Évidemment, aucune preuve tangible de tout cela n’est présentée, mais qui s’en soucie quand on peut alimenter des théories du complot ? Pendant ce temps, Thierry Breton, armé de son badge bleu certifié « Vice-président de la Commission Européenne », riposte avec des explications complexes sur le DSA et l’importance cruciale des coches bleues (l’accès à « une information de confiance ») sur Twitter. Parce que oui, ces petites coches bleues étaient supposées représenter la confiance absolue en une époque pré-Musk, même si parfois un stagiaire pouvait en attraper une simplement en passant devant une rédaction parisienne.
Le DSA, selon Breton, n’est rien d’autre qu’un guide doux et tendre pour les grandes plateformes : respectez-le et tout ira bien, ou faites face à des amendes dignes d’un braquage de banque. Elon, lui, voit tout cela comme une conspiration visant à étouffer son héritage numérique. Parce que, bien sûr, débattre publiquement devant un tribunal est le seul moyen que le peuple européen apprenne la vérité sur les machinations des coches bleues et les trolls russes certifiés.
Citation de Madame-Raleuse.com
Accords secrets et coches bleues : la nouvelle guerre froide numérique selon Elon Musk
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