Madame-Raleuse.com revient avec une nouvelle pépite : Gifi entre dans la danse des licenciements après Auchan et Michelin. 6 500 emplois sur la sellette, une direction aux abonnés absents, et un État trop occupé à compter ses taxes. Jusqu’où ira cette hécatombe sociale ? Découvrez les dessous de cette débâcle.
Gifi, Auchan, Michelin : Le bal des licenciements continue en France !
Ah, la France, ce pays qui a tout compris ! Pendant qu’on s’émerveille devant la Tour Eiffel et qu’on déguste un croissant au beurre, voilà que les entreprises nationales continuent leur grande danse des licenciements. Après Milee, Michelin, Auchan, voici Gifi qui entre en scène, avec un spectacle inédit : la vente au rabais de ses 6 500 emplois ! Rien de mieux pour rappeler au monde que l’Hexagone est toujours champion dans l’art de saborder son économie.
Quand le roi du bazar finit à la casse
Philippe Ginestet, ce visionnaire qui a mis des guirlandes et des bougies parfumées dans nos vies, a décidé de tirer sa révérence. À 70 ans, il vend son empire du « pas cher » pour, dit-on, « assurer la pérennité du groupe ». Traduction ? Le navire prend l’eau, et le capitaine saute dans un canot de sauvetage en laissant ses 6 500 matelots ramer dans la tempête. Ah, quelle élégance !
Et pendant que les employés s’inquiètent pour leur avenir, on murmure déjà les noms des repreneurs potentiels : Carrefour, Zouari, peut-être même un mystérieux fonds d’investissement prêt à tout rafler, sauf les salaires évidemment. Pas de panique, le maire de Villeneuve-sur-Lot, berceau de l’enseigne, reste muet comme une carpe. 700 emplois locaux ? Trop banal pour s’en soucier !
Les aides publiques : jackpot pour les patrons, licenciements pour les salariés
Et pendant que Gifi cherche un repreneur, rappelons que cette entreprise comme tant d’autres a sûrement bénéficié des fameux 200 milliards d’aides publiques. Oui, 200 milliards d’euros chaque année, ponctionnés dans vos poches, pour financer… les licenciements. Parce que pourquoi payer des salariés quand on peut remercier les patrons avec de jolis chèques ?
Michelin, par exemple, a bien montré l’exemple : quelques subventions par-ci, une fermeture d’usine par-là. Résultat ? Production délocalisée en Pologne. Bravo, les impôts français ont fait un superbe tour d’Europe ! Et maintenant, c’est Gifi qui profite de cette mécanique bien huilée : des prêts de 100 millions d’euros pour rééchelonner les dettes, (source : France 3) et hop, à vendre au plus offrant. Merci pour le cadeau !
La France : championne du chômage et de la taxation
Et où est l’État dans tout ça ? Trop occupé à plumer les entreprises avec des taxes toujours plus lourdes. Résultat : les patrons plient bagage, les employés trinquent, et la France va monter sur le podium mondial du chômage. Avec une telle stratégie, on comprend mieux pourquoi l’assurance-chômage est en pleine réforme : elle ne peut tout simplement plus payer les futurs licenciés.
La dette publique, elle, continue de grimper, mais pas de panique : nos gouvernants trouvent toujours de nouvelles façons de dilapider l’argent public. Entre cadeaux fiscaux pour les grandes entreprises et austérité pour les services sociaux, la créativité n’a pas de limites.
Que reste-t-il ? Le sarcasme… et les chômeurs !
Alors, chers contribuables, préparez-vous à accueillir une nouvelle vague de demandeurs d’emploi. Entre les réformes injustes, les taxes qui étranglent, et les entreprises qui fuient, on se demande vraiment pourquoi la France ne figure pas encore dans le Guinness Book des records : « Pays le plus doué pour transformer des emplois en statistiques de chômage ».
Mais rassurez-vous, comme dirait Ginestet, « tout est encore possible ! » Oui, surtout le pire. Quant à Gifi, souvenez-vous de son slogan : « Des idées de génie ! » À croire que vendre ses salariés comme des meubles déstockés en fait partie. Ah, la magie du capitalisme à la française…
Citation de Madame-Raleuse.com
Licencier : le sport national des entreprises françaises submergées par les taxes ?
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Licenciements en série : victime des taxes ou simple cupidité ? Et vous, pensez-vous que l’État a sa part de responsabilité ? Donnez votre avis en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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