Quand l’enveloppe budgétaire est envoyée aux ministères avec la promesse d’économies drastiques pour le budget 2025, on se demande comment il suffit de traverser la rue pour résoudre les crises de l’emploi ! Découvrez comment le gouvernement prévoit de réduire les crédits pour l’emploi tout en maintenant le reste intact, dans cette analyse mordante signée Madame-Raleuse.com. Accrochez-vous, le sarcasme est au rendez-vous ! (source : France Info)
Le budget et la magie de l’économie
Ah, les joies de la gestion budgétaire française ! Avec le budget 2025 qui se profile à l’horizon, on peut saluer la constance des traditions républicaines : quand il s’agit de faire des économies, les ministères doivent se serrer la ceinture, et Matignon nous promet des ajustements qui ne manqueront pas de nous surprendre (ou de nous faire rire, selon le degré de cynisme du moment).
Dans cette symphonie budgétaire, le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, une fois de plus en mode « on se calme et on économise », a décidé de faire preuve de magnanimité en envoyant les fameuses lettres plafonds aux ministères. Cela aurait pu être un geste d’optimisme si ce n’était pas le prélude à une coupe sèche dans les crédits pour l’emploi et l’apprentissage. Oui, vous avez bien entendu, les secteurs qui aident les citoyens à trouver un emploi se voient rationnés, parce qu’après tout, il suffit de traverser la rue pour en trouver un, comme l’a si élégamment souligné notre cher président. Merci qui ? Merci Macron !
Les priorités du gouvernement et l’ironie du sort
Avec dix milliards d’euros d’économies à réaliser, le budget 2025 ressemble à une partie de Monopoly où, plutôt que de construire des hôtels, on décide de détruire les maisons des secteurs qui en ont besoin. « Donnez leur des jeux et ils seront heureux ! » On envoie un petit message aux ministères : « Tant pis pour vous si vous manquez de fonds, le reste du pays peut toujours se contenter de traverser la rue pour trouver des solutions à ses problèmes ! » Quelle générosité, quelle vision audacieuse !
Les crédits pour l’emploi, ou plutôt ce qu’il en reste, sont donc réduits, tandis que la culture et le sport sont maintenus en l’état. Parce que, bien sûr, les crises de l’emploi peuvent attendre, tandis que les médailles et les spectacles, eux, ne doivent pas souffrir. Après tout, qui a besoin de formation professionnelle quand on peut s’adonner à un bon match de foot ou à une expo d’art contemporain ?
Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, qui avait promis d’envoyer les lettres « en temps et en heure », a donc joué les chefs d’orchestre dans ce grand bal de l’austérité, rythmant les économies avec une précision quasi militaire. L’ironie du sort veut que, si vous cherchez un emploi, vous pouvez toujours aller faire un tour à la place du marché de la rue voisine, où la possibilité de travailler serait à la fois infinie et infiniment incertaine.
Alors, à tous ceux qui se demandaient comment le gouvernement allait faire des économies : ne cherchez plus, ils l’ont fait en nous rappelant que le vrai secret de l’emploi est de savoir combien de rues il vous faudra traverser pour en trouver un. Après tout, un peu de bon sens et beaucoup de sarcasme peuvent souvent remplacer un budget solide. Vive la France, vive les économies, et vive le bonheur de traverser la rue !
Citation de Madame-Raleuse.com
Dix milliards d’économies sur l’emploi ? Apparemment, la rue est le meilleur cabinet de recrutement du pays !
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Croyez-vous vraiment qu’il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi, ou le gouvernement joue-t-il avec nos nerfs ? Partagez votre avis dans les commentaires !
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