Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

JO Paris 2024 : une organisation « sans incident »… mais avec une addition olympique à trois zéros de plus !

Ah, les Jeux Olympiques de Paris 2024… On nous avait promis un événement sobre, maîtrisé, presque écolo, qui ne coûterait « que » deux ou trois cacahuètes publiques. Résultat ? La Cour des comptes vient de nous livrer la facture : trois fois plus chère que prévu. Mais rassurez-vous, « sans incident » ! C’est vrai qu’à 6 milliards la fête, manquerait plus qu’il y ait un souci de logistique ou un raté sur la retransmission.

Quand « organisation parfaite » rime avec « contribuables rincés »

La Cour salue une livraison sans retard, une organisation impeccable, un engouement mondial (5 milliards de téléspectateurs, excusez du peu)… Bref, tout est nickel. Enfin, sauf la caisse publique : 3,02 milliards pour l’organisation, 3,63 milliards pour les infrastructures, un petit chèque signé par l’État, les collectivités et donc, in fine, par… vous.

Tony Estanguet, ex-patron des JO, n’est pas content. Selon lui, la Cour additionne tout et n’importe quoi : rénovations de métro, crèches, écoles, lignes électriques… Bref, des frais « hors Jeux » maquillés en addition olympique. Autrement dit, le débat se résume à : « on a vidé vos poches, mais promis, pas seulement pour la fête ». Ouf !

Retombées économiques : la magie des multiplications

Côté chiffres, le comité d’organisation nous joue les illusionnistes. Eux parlent de 2 milliards de coûts, mais de 9 milliards de retombées économiques. (source : Le Parisien) La Cour, beaucoup moins enthousiaste, souligne des « effets modestes » et même des évictions touristiques. Traduction : pendant que les caméras filmaient des nageurs dans la Seine (propre juste trois semaines, faut pas exagérer), les touristes classiques ont fui.

Accessibilité, insertion, écologie : les médailles de consolation

La Cour salue les « avancées sociétales » : 1,5 million d’heures d’insertion pour des jeunes peu qualifiés, une accessibilité améliorée pour les personnes handicapées, et une stratégie d’écologie appliquée (en tout cas dans les PowerPoint). Très bien. Mais soyons honnêtes : pour 6 milliards, on aurait aussi pu repeindre toutes les écoles, doubler les aides sociales et planter des arbres à chaque coin de rue.

Et l’héritage alors ?

On nous parle d’« héritage méthodologique », de « nation sportive », et même de la Seine baignable (mais pas tous les jours, faut pas rêver). Bref, le vrai héritage sera surtout celui de la dette et des taxes futures pour rembourser la bamboula olympique.

Les JO 2024 resteront dans l’histoire : pas pour leurs exploits sportifs, mais pour leur capacité à faire courir les contribuables… après leur portefeuille.

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