Madame-Raleuse.com revient avec une bombe : la Cour suprême de New York vient de réintégrer les employés licenciés pour avoir refusé le vaccin, avec des arriérés en prime ! Faut-il y voir un signal fort contre les restrictions de liberté ? Entre triomphe des droits et camouflet pour les pouvoirs publics, plongez dans ce retournement qui secoue l’Amérique !
Vous en rêviez, la Cour suprême de New York l’a fait ! Dans un retournement de situation qui ferait rougir même les plus grands scénaristes de thrillers juridiques, les employés licenciés pour avoir osé dire « non » aux injections obligatoires ont décroché le jackpot. (source : Réaction 19) Pas seulement une petite tape dans le dos, non. Retour au boulot, avec en prime les arriérés de salaire ! Autant dire qu’ils vont enfin récolter le fruit de leurs mois de résistance passive.
Retour à la case départ… mais avec un joli pactole
Alors, imaginez les pompiers, policiers, et autres travailleurs du service public de New York, qui avaient été remerciés comme des malpropres pour avoir refusé l’obligation vaccinale. Eh bien, ils n’ont pas seulement récupéré leur job, mais aussi une jolie addition de tous les salaires non versés ! Les caisses de la ville vont en prendre un coup – car oui, tout ça est financé par les deniers publics. Et hop, un joli trou dans le budget, pour le plus grand bonheur des contribuables new-yorkais, ravis de subventionner la liberté d’expression immunitaire de leurs voisins.
Une déculottée juridique pour les mandats sanitaires
Mais la cerise sur le gâteau, c’est bien l’argument juridique en béton armé qu’a brandi la Cour suprême : les obligations vaccinales, désormais aussi solides que du gruyère. Il semblerait que le fameux vaccin, censé sauver le monde et la galaxie, soit, au final, plus utile pour atténuer les formes graves que pour stopper la transmission. Du coup, l’obligation vaccinale est devenue aussi obsolète que le minitel.
Et si ça faisait tache d’huile ?
Aux États-Unis, on entend déjà les autres États se demander s’ils ne devraient pas aussi se lancer dans une petite danse judiciaire pour mettre fin aux mandats sanitaires. Il faut dire que l’inspiration est belle : une belle victoire des droits individuels contre les pouvoirs publics, et une douce vengeance pour tous les pros-liberté qui n’en peuvent plus des contraintes à répétition.
Et en France ? Bonne chance !
Ah, si seulement cette décision pouvait s’appliquer à l’Hexagone… Mais hélas, mes amis ! Ici, la Cour suprême de New York n’a aucune influence, et l’on sait bien que notre Conseil d’État n’est pas franchement du genre à braver la vague sécuritaire sanitaire. Pourtant, une lueur d’espoir existe : nos soignants suspendus, eux, ont jusqu’au 1er janvier pour réclamer leur dû. Et qui sait ? Peut-être que l’inspiration traversera tout de même l’Atlantique pour faire germer une idée de résistance douce parmi les syndicats et autres défenseurs des droits fondamentaux, avec un soupçon de « réfléchissons un peu aux vraies conséquences ».
En tout cas, cette décision marque une victoire savoureuse pour tous ceux qui, depuis le début, s’évertuent à rappeler que « liberté » n’est pas juste un mot sur la déclaration des droits. Alors, à tous les résistants d’hier et d’aujourd’hui, un message : parfois, la patience paye… avec les arriérés en prime.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand le système vacille, la liberté reprend ses droits – même au prix fort !
Exprimez-vous !
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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