Découvrez comment Macron, sous la plume acérée de Madame-Raleuse.com, va peut-être secouer la République française en invoquant l’article 16 de la Constitution après les élections législatives. Une analyse incisive sur les contours du pouvoir et les enjeux démocratiques. Ne manquez pas cette réflexion pointue !
Macron et l’article 16 : Un coup de maître ?
Ah, Macron, ce stratège de l’arène politique ! Il a réussi à mettre le peuple en mode combat libre, avec les supporters de l’extrême droite d’un côté et ceux de l’extrême gauche de l’autre, prêts à en découdre ! Et voilà que maintenant on entend qu’il risque de dégainer l’article 16 s’il n’y a pas de majorité aux législatives, juste pour avoir tous les pouvoirs entre ses mains. C’est vrai que la tradition républicaine n’a jamais été aussi chatouillée depuis juin 1940 !
Imaginez la scène le soir du 7 juillet : Macron, en costume présidentiel, s’adresse solennellement à la nation depuis son palais, une main sur la Constitution et l’autre prête à saisir tous les leviers du pouvoir. “Mes chers concitoyens, la menace est grave et immédiate ! Non, pas le changement climatique ou la crise économique, mais quelque chose de beaucoup plus sinistre : la nécessité de sauvegarder la démocratie en concentrant tous les pouvoirs entre mes mains éclairées.” Mais sa crédibilité de ces paroles est la même que celle de son annonce disant qu’il a compris et va prendre en compte le vote des français au lendemain du second tour de la présidentielle…
Ne nous affolons pas, l’Élysée a déjà démenti l’information, mais les démentis c’est comme les promesses, c’est surtout valable pour ceux qui y croient ! On se souvient encore de la gestion “autoritaire” de la crise sanitaire, où tout était discuté en conseil de défense sanitaire, ben oui nous étions en guerre contre un virus. Désormais nous risquons d’être en guerre contre un minus ?
Consultations symboliques et démocratie suspendue
Bien sûr, avant de faire ce grand saut dans l’inconnu constitutionnel, heureusement pour nous, il doit d’abord consulter le Premier ministre, le petit Gaby (son clone sans Brigitte), le Président de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet (macroniste, elle qui râlait d’avoir appris la dissolution à la télévision), le Président du Sénat, Gérard Larcher (LR qui pourrait peut être dire non ?), et bien sûr, le Conseil constitutionnel, dont le président semble être acquis à la cause de notre Monarque !
Et pendant ce temps-là, la nation, ah, la nation ! Elle regarde avec un mélange de curiosité et d’incrédulité, se demandant si Macron va vraiment transformer la République en une version française du jeu de Monopoly, où il collectera tous les pouvoirs comme des propriétés sur la rue de la Paix.
Bref, Macron et l’article 16 : un cocktail explosif de pouvoir, de démocratie “sauvegardée” et de consultations symboliques. Qui aurait pensé que sauver la démocratie pourrait impliquer de la suspendre temporairement ? La politique française, toujours pleine de surprises ! Et si cela provoque une crise économique au passage, c’est pas grave, il suffira de traverser la rue pour changer de travail ! Enfin si il ne décide pas de nous envoyer se battre en Ukraine ?
Longue vie à l’empereur ! Je viens de comprendre, il doit se prendre pour Napoléon, la prestance en moins !
Citation de Madame-Raleuse.com
Macron, l’article 16 : quand la démocratie se met en pause sous prétexte de la sauver.
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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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La France suivant le résultat des élections législatives du 7 juillet 2024, disparaitra.