Mark Zuckerberg a brisé le silence avec une confession explosive qui remet en question tout ce que nous pensions savoir sur la censure et la manipulation politique. Découvrez la vérité derrière les décisions controversées de Facebook et comment elles ont influencé notre perception de la pandémie et des élections. Préparez-vous à un plongeon dans les coulisses d’un pouvoir numérique dont vous n’avez encore jamais entendu parler. – Madame-Raleuse.com. (source : Le jouranl de Montréal)
La confession pandémique : quand Zuckerberg dévoile l’inavouable
Ah, Mark Zuckerberg, ce cher Mark Zuckerberg, le grand maître du royaume Facebook et maintenant le prophète de l’ère numérique ! Il a récemment décidé de nous éclairer avec une confession d’une profondeur abyssale, en adressant une lettre à la Chambre des représentants américains. Et quel pavé dans la mare ! En gros, il nous annonce que le monde est en train de se transformer en une dystopie digne de George Orwell, où la censure et la manipulation sont les nouvelles pièces de monnaie.
Première confession : l’époque dorée de la COVID-19. Ah, cette période bénie où l’on se promenait avec des masques en toile de jouy et où chaque toux était considérée comme une déclaration de guerre. Zuckerberg, dans un moment de lucidité rare, a reconnu que l’administration Biden-Harris avait fait pression pour que Facebook censore certains propos sur la pandémie qui, il faut bien l’avouer, ne collaient pas toujours avec le récit officiel. Bravo, Mark, pour ta bravoure ! Tu nous avoues donc que tu as censuré des contenus humoristiques sur la COVID-19, parce que rire de la pandémie, c’est vraiment le pire des crimes. Après tout, le rire pourrait remettre en question les décisions de santé publique, et on ne veut pas de ça. D’ailleurs, les experts en humour et les amateurs de stand-up devraient se sentir profondément responsables de toute cette désinformation pandémique.
La manipulation électorale : Zuckerberg et la comédie des révélations
Deuxième confession : les élections américaines de 2020. Ah, Hunter Biden et son ordinateur, la saga qui aurait pu rivaliser avec « Game of Thrones ». Mark Zuckerberg se révèle maintenant comme un gardien des secrets électoraux, en admettant que Facebook a également mis le hola sur les révélations compromettantes concernant Hunter Biden et ses aventures électroniques. Il semble que cette information ait été un peu trop épicée pour les papilles des décideurs, donc elle a été assaisonnée de censure. Le FBI a même joué à la belle-mère bienveillante en qualifiant l’affaire de « fausse nouvelle » alors que, surprise, ils étaient en fait les grands chefs d’orchestre de la manipulation médiatique. Ah, l’ironie, quand la « fake news » est orchestrée par ceux qui sont censés la combattre.
Alors, récapitulons : Zuckerberg, qui aurait pu se contenter de siroter son café dans un coin de Silicon Valley, a décidé de dévoiler au grand jour les coulisses de la manipulation numérique, tout en s’excusant pour sa complicité dans la censure de la pandémie et dans les magouilles électorales. C’est presque touchant, vraiment. On dirait un personnage de film qui se rend compte qu’il est l’antihéros de sa propre histoire.
Bref, si quelqu’un se demandait pourquoi l’oligarchie occidentale est si préoccupée par Elon Musk et d’autres esprits libres, c’est peut-être parce qu’ils osent défendre une vision authentique de la liberté d’expression. Une vision où l’on ne cache pas les informations sous un tapis numérique ou on ne manipule pas les faits pour servir les intérêts des puissants.
Mark, on te remercie pour cette brillante démonstration de transparence. On ne pouvait pas rêver mieux pour nous rappeler que dans ce grand jeu de société qu’est la politique et la technologie, tout est question de manipulation, de censure et, bien sûr, d’une bonne dose de sarcasme.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand Zuckerberg admet que la censure est la nouvelle norme, nous devons nous demander : quelle vérité nous est cachée aujourd’hui ?
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