Madame-Raleuse.com vous dévoile une parole citoyenne sur la crise énergétique : Entre taxes absurdes, promesses non tenues et une écologie de façade, la France semble avoir perdu son bon sens. Pendant que l’électricité flambe et que nos agriculteurs disparaissent, nos dirigeants préfèrent taxer l’air qu’on respire. Mais jusqu’où irons-nous ? Découvrez l’absurdité d’un système qui nous mène droit dans le mur.
La valse des taxes et des promesses non tenues
Ah, la France, ce pays magnifique où l’on sait si bien concilier innovation et nostalgie d’un passé glorieux… en appliquant les vieilles méthodes éprouvées : taxes, subventions et petites phrases bien rodées de nos dirigeants pour nous endormir, un doux mélange entre révolution industrielle et café du commerce. Prenons un instant pour apprécier l’ingéniosité de nos élites, car quand il s’agit de l’environnement, nos responsables semblent avoir découvert la panacée : non pas l’innovation ou l’investissement, mais plutôt la vénérable taxe écologique. Pourquoi changer une recette qui fait ses preuves depuis des décennies ?
Alors que nos voisins allemands brûlent joyeusement du charbon à ciel ouvert (coucou la transition verte), la France, elle, opte pour une autre méthode : indexer l’électricité sur un marché européen de l’énergie gazier qui nous coûte plus cher que le dernier iPhone. Ah, cette belle idée qui nous a valu une augmentation de 30 % des tarifs en deux ans… Mais soyons justes, Bruno Le Maire l’avait dit : « Ça n’augmentera pas. » On y croyait, hein ? Allez, encore une petite dose de 10 % en février 2024, histoire de bien débuter l’année. Et on ne s’arrête pas là, on remet ça en 2025 et 2026 ! Un abonnement à l’inflation, c’est le cadeau du gouvernement. Pendant ce temps, la Nouvelle-Zélande nous envoie son lait, et on dit merci. Après tout, quoi de mieux qu’un bon verre de lait importé, quand nos agriculteurs français disparaissent comme des licornes ?
Entre écologie de façade et tourisme de masse
Mais, rassurons-nous, la vraie innovation est là, bien cachée quelque part derrière ce rideau de taxes. Les sécheresses ? Pas nouveau, qu’on vous dit ! Déjà au XIXe siècle, on creusait des canaux comme si c’était un épisode de Man vs. Wild. Et vous savez quoi ? On a survécu, et Marseille est passée de 50 000 habitants à près d’un million. Alors pourquoi aujourd’hui devrait-on paniquer ? C’est juste une question de trouver la meilleure solution. Et on le sait tous, la meilleure solution, c’est bien sûr… une nouvelle taxe. Parce qu’après tout, qui a besoin d’innovation ou de gestion intelligente quand on peut juste taxer l’air qu’on respire ?
Et nos amis écologistes, que disent-ils ? Ils sont sûrement ravis. Eux qui prônent la simplicité, ils doivent être aux anges de voir qu’on a remplacé les fermes par des restaurants pour touristes en quête de vin et de fromages « locaux » importés d’Espagne. Le tourisme, ce champion invisible de la pollution ! On leur fait payer la note, et hop, tout est réglé. Ah, le génie français.
Mais attention, ne soyons pas alarmistes ! Les cycles climatiques, c’est comme la mode, ça revient toujours. Une mini ère glaciaire en 2030 ? Allons bon, après tout, on nous dit bien que la planète se réchauffe, alors un petit coup de froid ne pourra que faire du bien. Et pour les plus sceptiques, n’oubliez pas : les chercheurs qui cherchent, on en trouve. Ceux qui trouvent, on les cherche encore.
Pendant ce temps, CNN et les climato-sceptiques s’emballent, la France devient la bourgade exemplaire de l’Europe et des États-Unis, et nous voilà coincés avec nos rêves d’indépendance énergétique, sous une pluie de taxes et de promesses creuses. Ah, la douce France, où le débat sur le climat ressemble de plus en plus à une soirée karaoké dans un bar vide. Allez, qui veut encore une augmentation d’électricité pour pimenter le tout ?
Vous coulez en savoir plus, découvrez ce texte de Richard Armenante qui dévoile comment la France, entre promesses brisées, taxes écologiques absurdes et dépendance énergétique, s’enfonce dans un cercle vicieux, tandis que nos dirigeants continuent de fermer les yeux sur des solutions durables. Vous ne devinerez jamais jusqu’où va l’absurdité de nos politiques !
Citation de Madame-Raleuse.com
Taxer l’air qu’on respire, c’est ça l’innovation ?
Exprimez-vous !
Pourquoi continue-t-on à payer plus cher pour une énergie qu’on produisait à bas coût ? Pensez-vous que ces taxes règlent vraiment le problème ou alimentent-elles simplement les déficits ? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires !
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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