Il paraît que tout devait être magique. La cérémonie d’ouverture façon « Drag Queen Disney Channel » avait déjà fait lever plus de sourcils que de drapeaux tricolores, mais là, on passe carrément à l’acte II du naufrage macronien : le village olympique.
Souvenez-vous : selon le grand architecte de l’Élysée, ces logements allaient partir « comme des petits pains ». Des appartements modernes, éco-responsables, pensés pour « l’héritage olympique » (traduisez : une bulle spéculative immobilière à peine déguisée). Spoiler : on est plus proche de la cité fantôme de Pripyat que du rêve parisien.
Après la catastrophe de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques LGBTQXYZ de Macron, celle du village olympique.
— patricia chaibriant (@PChaibriant) September 17, 2025
Selon l'esprit suprême de l'Elysée les logements devaient se vendre comme des petits pains, en vrai c'est devenu un ghetto fantôme. pic.twitter.com/DL50J2w4xh
Du podium au ghetto express
On devait avoir une vitrine du savoir-faire français, on a hérité d’un mix entre résidence universitaire abandonnée et zone de deal sous contrôle municipal.
Résultat ? Zéro médaille en attractivité, mais un record olympique de vide intersidéral. Les promoteurs, qui rêvaient de jackpot, se retrouvent avec un Monopoly grandeur nature dont personne ne veut.
Héritage ou héritage empoisonné ?
Parce que oui, dans le jargon de nos élites, « héritage » veut dire facture pour les contribuables. Les Français paient, les promoteurs pleurent, et le village olympique s’endort déjà sous la poussière.
Macron promettait un « legs pour les générations futures ». Traduction : une friche immobilière flambant neuve qu’il faudra entretenir à coups de milliards.
En résumé :
- La cérémonie était un sketch.
- Le village est un décor de film post-apocalyptique.
- Et nous, on paie les popcorns pour assister à ce spectacle navrant.
Merci Jupiter, encore une fois, la France rayonne… mais dans le noir.