Madame-Raleuse.com vous propose son éclairage sans concession sur Davos 2025, où l’absence de Macron fait autant parler que les 1 500 jets privés et la « Grande Réinitialisation ».
Le Forum économique mondial (WEF) s’installe à Davos du 20 au 24 janvier 2025. Officiellement, on y parlera de transition écologique, de lutte contre les inégalités et de nouvelles technologies. Officieusement, on troquera ces beaux sujets contre 1 500 jets privés, des suites d’hôtels inaccessibles au commun des mortels et quelques « services » coûteux pour agrémenter les longues soirées d’hiver. Mais cette année, un grand absent fait jaser : Emmanuel Macron.
Macron, l’absent qui fait jaser
Pourquoi diable notre président réformateur en chef n’est-il pas de la partie ? En plein tumulte social, aurait-il préféré rester à l’Élysée (ou quelque part en France) pour éviter de devoir expliquer, devant la planète entière, pourquoi sa transition écologique consiste à taxer les véhicules diesel tout en laissant filer les jets privés ? Mystère. D’aucuns y voient une habile stratégie pour ne pas se faire huer (ou snober) par ses pairs. D’autres suggèrent qu’il ne veut tout simplement pas partager la vedette avec Donald Trump ou Olaf Scholz. Bref, son absence nourrit toutes les rumeurs.
Transition écolo… à coup de kérosène
Davos 2025 se veut le théâtre de la lutte contre le réchauffement climatique. Sur le papier, c’est magnifique :
- Adoption des énergies vertes (enfin, peut-être, on l’espère).
- Projet d’interdire les potagers (parce qu’apparemment, produire ses propres tomates, c’est suspect).
- Promotion d’un « Great Reset » censé sauver le monde.
Mais pendant que ça disserte sur l’avenir de la planète, 1 500 jets privés encombrent le ciel. Et si Macron était venu, il aurait peut-être applaudi l’argument « C’est pour la bonne cause », histoire de justifier la tonne de kérosène brûlée. On restera sur notre faim.
Dans les coulisses dorées du Forum économique mondial
Le glamour de Davos, ce n’est pas seulement des dirigeants encravatés qui trament des plans secrets. C’est aussi :
- Des suites d’hôtels à faire pâlir un oligarque.
- Des escort(e)s tarifées jusqu’à 2 000 euros de l’heure (égalité des genres incluse, n’oublions pas les « escorts boys »).
- Des buffets gargantuesques pour parler du sort des plus démunis… tout en dégustant du caviar.
En d’autres termes, la grande fête se poursuit sans Macron pour faire la morale. Dommage, on aurait aimé qu’il rappelle son engagement pour l’égalité femmes-hommes avant de s’éclipser.
Le “Great Reset” : un grand projet… ou un coup de bluff ?
Malgré les dorures et les soirées entre VIP, on jure qu’on parle aussi de choses sérieuses. Vous savez, ce fameux « The Great Reset » — la « Grande Réinitialisation » — dont tout le monde (ou presque) ? Eh oui, entre deux coupes de champagne, on plancherait activement sur ce grand projet de refonte planétaire…
- Transition écologique mondiale : On brûle du kérosène à gogo, mais c’est promis, on va planter des arbres.
- Régulation des nouvelles technologies : IA, surveillance de masse, tout ça… On verra ce qui nous arrange.
- Lutte contre les inégalités sociales : Un classique à Davos, qu’on aborde volontiers entre deux bouchées de foie gras.
- Préparation aux futures pandémies : Parce que, manifestement, on n’en a pas eu assez.
Avec ou sans Macron, ces dirigeants (de Trump à Scholz, en passant par Urusla Von der Leyen et Zelensky) vont décider de ce qui est « bon » pour nous. Le président français aurait pu glisser un petit mot sur ses fameuses réformes, mais il a sûrement mieux à faire chez lui.
Un Davos 2025 sans la France : un désaveu ?
Davos est souvent qualifié de « gouvernance mondiale officieuse » : On y prend des décisions majeures à l’abri des regards. Si Emmanuel Macron avait participé à cette grand-messe, il aurait dû justifier ses réformes (pas toujours populaires, c’est le moins qu’on puisse dire) et prouver que sa France est toujours un modèle à suivre. Sans lui, qui va défendre la baguette, le fromage et la pilule de réforme des retraites ? Personne, visiblement.
Certains accusent le président de « bouder » pour éviter les caméras critiques, d’autres estiment qu’il a déjà fort à faire chez lui avec l’affaire de Jean-Michel Trogneux et tous ces Français qui s’obstinent à refuser de travailler jusqu’à 87 ans.
Pendant ce temps, sur Terre…
- Les citoyens lambda jonglent avec l’inflation et les factures d’énergie.
- Les taxes écologiques pleuvent, pendant que les jets privés de Davos festoient.
- Et nous, on se demande s’il faut être VIP pour obtenir le droit de polluer en toute bonne conscience.
Sans Macron pour jouer l’arbitre, le monde va-t-il tourner en rond ? Rassurez-vous, il reste 60 chefs d’État sur place pour faire semblant de sauver la planète tout en continuant à la presser comme un citron.
Conclusion : Davos 2025 sans Macron, un vrai changement ?
La grande question reste : un Davos sans Emmanuel Macron est-il vraiment un Davos ? Pour certains, cela fera juste un invité en moins à l’after-party. Pour d’autres, cela change la donne médiatique, puisqu’on ne pourra pas s’amuser à lui faire porter tous les maux de la Terre. Mais rassurez-vous : avec tous les autres dirigeants, on trouvera bien quelqu’un à accuser de faire semblant d’aimer la planète tout en la détruisant.
Alors, prêt à suivre ce spectacle de haute voltige écolo-mondialiste depuis votre salon chauffé au bois (enfin, si c’est encore autorisé) ? Asseyez-vous confortablement, la tragi-comédie ne fait que commencer.
Citation de Madame-Raleuse.com
Le “Great Reset” : quand les puissants refont le monde… en jets privés.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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