Vous trouvez les recommandations de l’OMS sur le mpox aussi claires que des boules de cristal brisées ? Découvrez la vision déconcertante de l’organisation mondiale sur cette maladie et son étonnant appel à 135 millions de dollars, décortiqué par Madame-Raleuse.com. Préparez-vous à un tourbillon de révélations !
La transmission simplifiée à l’absolu
Ah, l’OMS, ce grand oracle de la santé mondiale ! Après nous avoir régalés avec leurs explications lumineuses sur la COVID-19, et maintenant, ils nous régalent avec leurs lumières sur le mpox. Il est vrai qu’après avoir exploré les mystères des variants COVID et des masques en papier, ils se sont attaqués à la variole du singe, ou plutôt à ce qu’ils aiment appeler maintenant « mpox ». Merci à eux pour cette mise à jour cruciale.
D’après l’OMS, le mpox, donc, se transmet principalement par « contact étroit ». Oui, vous avez bien lu, « contact étroit » ! C’est si simple, tellement limpide, n’est-ce pas ? Quand ils disent « contact étroit », ils veulent dire à peu près tout ce qui implique que deux personnes sont dans la même pièce, à respirer le même air, se toucher, s’embrasser, se parler ou simplement se faire des clins d’œil. Il va sans dire que cette transmission « principale » est, bien sûr, une autre manière subtile de dire qu’on pourrait attraper le mpox en se frottant contre le trottoir ou en éternuant sur une mouette. L’OMS nous assure d’ailleurs que la transmission par gouttelettes est « mineure ». (source : Midi Libre) Peut-être que si vous respirez à peine, cela pourrait en fait éviter toute contamination, ou alors c’est la meilleure manière de rester « presque » propre.
Les réponses à tout, et le budget qui va avec
En gros, la variole du singe se transmet donc aussi efficacement par le contact avec des objets touchés par des malades. Comme, par exemple, un bouton de chemise ou un porte-clés. Pour vraiment parfaire le tableau, l’OMS nous explique qu’il est crucial de laver les mains après avoir touché ces surfaces, car apparemment, les objets sont des complices sournois dans cette danse contagieuse. Nous voilà donc à éviter tout contact avec des poignées de porte suspectes, à moins que ce ne soit une tentative de réécriture de l’Hymne à la Joie avec des gants en latex.
Mais n’ayez crainte, la panacée est en route : l’OMS nous demande 135 millions de dollars pour combattre le mpox. Peut-être qu’avec ce budget, ils trouveront comment faire en sorte que les masques ne soient pas la solution à tout, ou qu’ils découvriront une méthode novatrice pour éviter que l’air que nous respirons ne soit une autoroute pour les virus.
En attendant, chers citoyens, nous devons rester vigilants et garder nos distances, tout en nous demandant si les prochaines recommandations seront aussi claires que celles concernant la Covid-19. N’oublions pas : le véritable danger serait de laisser l’OMS diriger la santé mondiale. Parce que, évidemment, quand il s’agit de comprendre les modes de transmission d’un virus, qui d’autre que nos experts mondiaux pour nous guider avec une clarté et une précision inégalées ?
Ah, la science et la santé publique, quelle comédie de l’absurde !
Citation de Madame-Raleuse.com
L’OMS déclare que le mpox se transmet par ‘contact étroit’ – si seulement il y avait un mode d’emploi pour éviter les gaffes !
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Pensez-vous que l’OMS a vraiment la solution pour comprendre et prévenir le mpox ? Partagez vos réflexions en commentaire !
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